En savoir plus sur le jeu de gruyère
Les jeux traditionnels se sont modifiés au fil du temps, au gré des voyages et ont donné lieu à de nombreuses variantes. Ils ont également inspiré les créateurs dans leurs inventions de jeux nouveaux…
Faites monter une boule le long de cette planche trouée de toutes parts. Plus vous montez, plus vous pouvez marquer de points. Ce jeu demande calme et concentration !
Il s’agit d’emmener une boule le plus haut possible sur une planche perforée de toutes parts. Cette planche est divisée en 4 parties : la première, tout en bas, vaut 1 point ; la seconde vaut 2 points ; la troisième vaut 3 points et la quatrième 4 points. Dans chacun des 4 espaces délimités, on trouve des trous entourés de rouge, qui valent plus de points, le maximum étant 10, situé tout en haut du jeu.
Pour complexifier encore un peu plus le jeu, et le rendre coopératif, vous pouvez le pratiquer à 2 joueurs, chacun tenant une corde, il faudra alors se synchroniser avec précision !
Les jeux traditionnels se sont modifiés au fil du temps, au gré des voyages et ont donné lieu à de nombreuses variantes. Ils ont également inspiré les créateurs dans leurs inventions de jeux nouveaux…
Rapidité, concentration et… souplesse sont les maîtres mots de ce jeu ! À l’aide d’un élastique, débarrassez-vous de vos palets en les faisant glisser chez votre adversaire par un trou creusé dans la planche médiane. Alors : « à vos palets, prêts, glissez ! »
L’origine du jeu de la table à élastique serait inventé par Odile Perino dans la région de Grenoble, la création du jeu a été conçu comme un jeu d’animation. Il se trouve aujourd’hui un peu partout en France et ailleurs, sous différents noms comme : « Maxi-Flitzer », « Passe-trappe », …
C’est un jeu quasiment incontournable pour nos interventions, il fait toujours fureur auprès des enfants mais pas seulement, les adultes adorent s’affronter avec leurs progénitures et voir qui sera le plus rapide. Le jeu de la table à élastique s’adapte à tous les types d’évènements ; nos jeux sont d’une dimension plus grande que les passe trappes que nous retrouvons dans les magasins de jeux. À noter que ce n’est pas un jeu trop difficile à fabriquer.
A l’aide d’un « marteau-pousseur », il faudra vous débarasser plus rapidement que votre adversaire de toutes vos billes.
Au signal de départ, les deux joueurs n’ont plus le droit de toucher les billes avec les mains, seul le marteau peut être utilisé pour envoyer toutes les billes dans le camp de l’adversaire, par les deux trous au centre de la planche médiane.
Ce jeu est une création de l’association Wellouëj, il est un mélange entre la table à élastique et le jeu des petits marteaux.
A l’aide du frappeur en bois, il s’agit d’essayer d’envoyer le palet dans le but adverse. Il est bien entendu interdit de franchir la ligne centrale avec le frappeur et d’obstruer les cages avec son bras.
Les joueurs décident du score à atteindre pour gagner la partie (5 ou 10 points), un tirage au sort définira le joueur qui engage la partie. A l’aide du frappeur, on doit essayer d’envoyer le palet dans le but adverse. Il est interdit de franchir la ligne centrale avec le frappeur et d’obstruer les cages avec son bras. La zone défensive ne peut être franchie avec le frappeur. Si cette zone est franchie, le palet doit être rendu à son adversaire (pénalité). Un palet qui entre dans les buts et ressort est une « gamelle ». Elle enlève un point à celui qui l’a encaissée.
Ce jeu a apparement été inventé aux Etats-Unis courant du XXème siècle. Une version électrique qui a fait fureur dans les ducasses ou fêtes foraines a été conçue dans les années 70 : le Air Hockey. On retrouve encore ce jeu dans certains cafés, cinéma et salles de jeux.
Êtes-vous aimés ? – Consultez la marguerite ! Elle vous dira si vous êtes aimé.
Le joueur pense fortement à une personne de son choix, une fois décidé, il fait tourner la toupie Marguerite qui lui indiquera son amour pour elle ou lui.
Nous avons découvert ce jeu dans une braderie. On pouvait le retrouver autrefois dans les fêtes foraines où plusieurs jeux avec monnayeurs étaient disposés.
Le joueur se place à une distance convenable, puis lance les trois boules de façon à viser le trou et de retomber sur les cases numérotées afin de totaliser un maximum de points.
Remarque : si un joueur réussit à placer ses 3 boules, il peut relancer une boule et ainsi augmenter son score.
Généralement, l’image représente la figure d’un personnage avec la bouche démesurément ouverte pour recevoir les boules que lance le joueur. Les personnalités du pouvoir on souvent été cible privilégiée pour le jeu de passe-boules. Ce jeu était très prisé dans les guinguettes, les fêtes populaires, les fêtes foraines…
Écartez les 2 barres en bois de manière à faire monter la boule le plus loin possible pour obtenir un maximum de points.
Les jeux traditionnels se sont modifiés au fil du temps, au gré des voyages et ont donné lieu à de nombreuses variantes. Ils ont également inspiré les créateurs dans leurs inventions de jeux nouveaux…
Au départ, le billard à barres n’était pas un jeu, mais un porte-queue. Des joueurs de billard dans les cafés ont commencé à coincer 2 queues de billards sur un porte-queue mis à plat, et ont fait rouler une boule de billard le long des queues. C’est ainsi que le jeu serait né.
Contrairement à la bagatelle, le billard japonais se joue seul. Le joueur dispose de cinq boules qu’il fait rouler une première fois en direction des cavités du plateau, puis recommence une seconde fois avec les boules qui sont revenues vers lui. Son score vient de l’addition des boules bloquées dans les cavités numérotées.
Certainement jeu forain à l’origine, de nombreux pères et papis se sont mis à fabriquer un billard japonais pour leurs enfants. Il n’est pas rare d’en voir de toutes les dimensions, de toutes les couleurs comme un véritable objet d’art populaire.
Le but est d’abattre le maximum de quilles à l’aide de la toupie. On entoure la toupie d’une ficelle qui permettra de lui donner de la vitesse. On place ensuite la toupie dans la « cage », et on tire sur la ficelle afin de la propulser sur la table.
C’est sans nul doute au cours du XIXème et du XXème siècle que la table à toupie a connu son apogée. Présente au début sous sa forme initiale dans les estaminets des Pays-Bas, de Belgique et du nord de la France, celle-ci s’est répandue dans les maisons bourgeoises sous diverses formes plus travaillées et ne représentant plus qu’un simple parcours dont le but est alors de renverser un maximum de quilles. Au XIXème siècle, la table à toupie s’est exportée en Angleterre et aux Etats-Unis, où on la retrouve sous le nom “Devil among the tailors”. On retrouve le jeu dans les catalogues des grands magasins du Printemps en 1877. Certains fabricants de billards le proposent également dans leurs catalogues. Des versions du jeu avec monnayeur ont même vu le jour au milieu du XXème siècle.
Le but du shut the box est de fermer un maximum de battants numérotés à l’aide de deux dés. En début de partie, tous les battants numérotés sont ouverts. Le joueur jette deux dés sur le tapis et ferme le ou les battants qui correspondent.
Exemple : 3 et 6 on peut fermer :
A chaque lancer de dés, au moins un battant doit être fermé, sinon la partie est terminée.
Quand la partie est terminée, on addtionne les points des battants encore ouverts et le joueur suivant prend le relais. Le gagnant est celui à qui il reste le moins de points.
Si un joueur ferme tous les battants, il met 10 points à tous les autres participants.
Ce jeu date du XVIII ème siècle, d’origine de Grande Bretagne, il est aussi connu en France sous le nom de Trac ou Fermer la boite. Shut the box fait parti de la famille des jeux dits de hasard raisonné. Dans le milieu aristocratique anglais, il portait le nom de Loptinh. Les marins l’ayant emporté avec eux dans leur traversées, on le retrouve désormais dans de nombreux pays, avec quelques variantes.